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  • : Le blog de irene.autour-de-la-naissance
  • : échanger des vécus, des expériences autour de la grossesse, la naissance, l'allaitement, l'accompagnement haptonomique
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10 janvier 2020 5 10 /01 /janvier /2020 00:09

Je réfléchis à cette question quand les parents  viennent me voir pour un deuxième, un troisième (et même dernièrement  un quatrième!) accompagnement en haptonomie et je suis toujours ravie de les revoir pour une deuxième, troisième ou quatrième grossesse!...

Mais pourquoi reviennent ils? ils me donnent la réponse eux mêmes:

"Quand on voit ce que cela nous a apporté mais surtout tout ce que cela a apporté à notre enfant, combien il est bien dans sa peau, ouvert au monde, on a envie de faire le même cadeau à cet autre bébé"

Oui, ils ont tout compris, l'hapto, c'est un cadeau POUR LA VIE, que vous faites à votre enfant: le bien être que vous semez en lui dans sa vie intra utérine, il en aura les bénéfices pour toujours...

Bien sûr, avec les parents qui ont déjà reçu un accompagnement, on révise un peu, on revoit ce qui a été oublié et surtout on approfondit, on découvre des aspects qu'on avait pas encore vraiment perçus...Mais le plus important, et c'est pour cela qu'il faut faire un accompagnement, c'est que pour ce nouveau bébé, il découvre, avec avidité, à sa façon, pas forcément comme l'a fait son frère ou sa sœur avant lui, il construit sa personnalité, et ses parents comprennent déjà qu'il est différent de ses ainés et comme l'hapto est un lien qui se tisse dans l'échange et la réciprocité, cet accompagnement sera unique et irremplaçable...

 

Par ailleurs, il m'arrive de rencontrer des gens, chez des ami-e-s, dans une réunion ou dans un contexte différent du milieu professionnel, quelqu'un qui vient vers moi et me surprend en me reconnaissant et en me disant que, "oui, on se connait,  vous nous avez accompagnés voici dix ans, douze ans...pour notre enfant..." Je suis heureusement surprise qu'ils me reconnaissent (bon, je n'ai pas trop vieilli!) confuse que moi, je ne les reconnaisse pas et contente finalement quand ils me disent que ce furent des moments super, qu'ils en gardent un merveilleux souvenir...

...Mais parfois, ils ajoutent une petite phrase qui me donne à penser que, à l'époque, je n'ai pas bien su leur faire comprendre la réelle importance de l'hapto...Ainsi cette maman, rencontre fortuite et improbable voici quelques jours, toute contente de me retrouver et qui me raconte tout ce qu'elle a vécu avec l'hapto et surtout les effets encore positifs qu'on peut trouver chez son fils d'une douzaine d'années...mais elle finit par ajouter qu'elle en a eu un deuxième ensuite et que pour cette deuxième grossesse, elle a voulu essayer autre chose et elle a fait...de la sophro! ... et je ne sais trop quoi lui dire! Comment lui dire que la sophro c'est pour ELLE, que cela l'a (peut être? même pas sûr!) aidée pour son accouchement mais qu'en aucun cas ça n'a profité à son bébé (au mieux, il a pu profiter de sentir sa mère plus détendue?) ! Rappelons d'ailleurs que sophro et hapto ne sont pas vraiment compatibles, la sophro étant une activité mentale (tout à fait respectable en soi, là n'est pas le problème!) où la mère se recentre sur elle même, en se coupant pour cela du monde extérieur y compris en fait de son bébé. Cela peut convenir et faire du bien à la mère c'est indéniable mais n'a rien à voir avec la construction d'un lien, à trois avec le père, l'ouverture au monde et la création d'une affectivité fondée sur la relation que propose l'hapto...

La maman a d'ailleurs vite évacué ce sujet, sentant confusément sans doute la différence qu'il y avait mais moi, je me suis dit qu'à l'époque, j'avais sans doute quelque peu échoué à lui faire comprendre la spécificité de l'hapto et même de sa magie...Pas totalement car elle était quand même plus enthousiaste à me parler de sa première grossesse et des effets sur son enfant...

Mais j'espère être plus explicite maintenant, ne serait ce que par ce texte!

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31 juillet 2019 3 31 /07 /juillet /2019 15:48
Péridurale : oui ou non ? 
Si vous n'arrivez pas à visualiser cet e-mail,
Donnez-vous la liberté de choisir 

 

Bonjour Irène,

L’été glisse vers l’été indien (aussi appelée 5ème saison). La fraîcheur de l’automne couvre nos épaules en soirée. L’énergie nous ramène doucement vers nous pour nous poser. C’est le moment idéal pour prendre un temps de réflexion sur vos choix. C’est pourquoi j’aborde dans cette 8ème web-conférence du Cycle des Comment de la maternité, la question de l’analgésie péridurale durant l’accouchement et surtout comment vous donner une véritable liberté de choisir. 
 
« Analgésie péridurale : comment avoir le choix ! » 
Ou Comment vous y retrouver dans tout ce que l’on dit 
 
 

 

 
 
 
 
 
 
Le problème du choix
 
 
 
On a souvent l’impression de ne pas avoir le choix dans la vie ; pourtant, même si vous ne pouvez pas changer une situation, vous êtes toujours libre de choisir la manière de la voir, de l’appréhender, de la traverser.

Choisir amène des questions :
  •  J’ai peur de ne pas faire le bon choix
  •  Et si je me trompe
  • J’aimerais cela mais j’ai aussi envie de ça
  • J’ose pas faire ce choix car je ne sais pas si je serai capable
  • J’ai peur de ne plus avoir le choix après 
  • J’ai peur de ne pas pouvoir revenir en arrière.

Tout cela amène des tiraillements, prend du temps et de l’énergie et conduit à ce que vous fassiez vos choix à moitié (car vous n’arrivez pas à lâcher complètement l’autre option), amenant son lot de regrets, doutes, remises en question, sabotage… 

Donc la question du choix est souvent problématique.
C’est, pour moi, une question essentielle d’autant plus lorsqu’il s’agit de l’accouchement car le déroulement de l’accouchement va aller à la rencontre de vos résistances, donc d’une option qui n’est pas ouverte. Par exemple, si vous êtes fermée à la péridurale, il est probable que vous craquiez à un moment donné et que vous la demandiez à moins que ce ne soit les circonstances extérieures qui nécessitent d’y avoir recours.
C’est donc avec impatience que je vous propose de nous retrouver au cours du Live, pour recevoir vos questions, sentir votre présence soutenante et collaborative et avoir vos réactions en directe.
Si ça vous parle, libérez un espace dans votre agenda !
 
 
 
 
 
 
 
Comment faire un vrai choix ?
 
 
 
Lorsque vous poussez votre réflexion jusqu’à faire ce que j’appelle « un vrai choix », vous pouvez faire pleinement corps avec votre décision parce qu’elle est pleine et entière. Cela ne laisse aucune place aux regrets, ni à la remise en question de cette décision même si les circonstances peuvent vous amener à changer d’avis. Vous n’êtes pas bloquée dans votre choix mais adaptable en fonction de ce qui se présente.

Vos choix peuvent se faire :
  • par défaut : vous ne vous posez pas vraiment la question, vous acceptez sans prendre en considération la part de vous qui se soumet
  •  par fuite de la peur : vous fuyez la situation qui vous effraye (vous avez peur de la douleur par exemple, donc vous choisissez la péridurale)
  •  par véritable choix : toutes les options sont possibles en vous, vous êtes alors libre de choisir celle qui vous parle vraiment.

Donc, pour faire, un vrai choix, il convient de regarder toutes les options qui s’ouvrent à vous, et d’écouter ce que chacune vous dit que ce soit dans votre tête au niveau du mental, dans votre cœur avec vos émotions et dans votre corps avec les sensations. Il vous reste à dénouer ce qui bloque pour libérer le passage afin chaque option soit possible. 

Dans le cas de l’accouchement, ce sera de vous sentir prête à accoucher aussi bien :
  • sans péridurale, en vous ouvrant à vos sensations corporelles pour traverser la tempête
  • avec péridurale, si vous ne parvenez pas à vous ouvrir.
Il n’empêche que l’une des possibilités vous parle plus que l’autre. Et, en même temps, si elle ne s’avère pas possible, ce n’est pas un problème. 
 
 
 
 
 
 
 
Web-conférence 8 : 
Analgésie péridurale
 : comment avoir le choix ? 
Au cours de cette 8ème web-conférence Live, j’ouvre la porte de l’accouchement et de la médicalisation. Je m’adresserai autant à celles et à ceux qui sont contre la péridurale, que ceux qui sont pour. Loin de polémiquer et de prôner un choix plutôt que l’autre, je préfère démystifier la péridurale comme la douleur afin que chacun d’entre vous trouve les éléments nécessaires à son propre choix, à savoir celui qui est adapté pour vous au moment où vous le faites.
  Analgésie péridurale : 
Comment avoir le choix ?


Ou Comment vous y retrouver dans tout ce que l’on dit 


Mardi 27 août 2019 
à 21h
Dans cette web-conférence, je vous apporterai :
  • Une compréhension des mécanismes d'action de la péridurale sur vos muscles
  • Des clés pour aller à la rencontre de la douleur
  • Des outils pour traverser vos peurs
  • Des éléments concrets pour être actrice de votre accouchement avec une péridurale
  • Des repères pour différencier un véritable besoin de la péridurale d'une demande au moment du stade de la désespérance
  • Des croyances à démystifier (j'ai peur que ce soit trop tard...)
  • Des éléments pour faire un véritable choix

Votre participation au Live est entièrement gratuite. J’aime vous sentir présents, recevoir vos questions, vos réactions. Cela crée une collaboration qui fait de ce moment un temps unique. Ce serait si simple pour moi de tout enregistrer lorsque cela me chante et de ne vous proposer qu’une rediffusion. Je préfère m’impliquer pour vous ouvrir cette opportunité d’être en contact direct avec moi. 
Et vous, avez-vous envie de vous impliquer aussi pour apporter votre soutien ?

J'aimais beaucoup Maïté Trélaun dans son premier livre

"J'accouche bientôt et j'ai peur de la douleur"

Je me suis un peu éloignée de sa trajectoire actuelle mais je pense que cette web conférence peut intéresser plusieurs parents;

elle est annoncée "gratuite": espérons le

et bonne participation

Belle fin d'été à vous

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19 juin 2019 3 19 /06 /juin /2019 14:33

Bien sûr, nous nous intéresserons surtout aux pleurs du bébé (nourrisson, petit enfant) ...mais il peut y avoir aussi les pleurs de la femme enceinte, de la jeune accouchée, de la maman épuisée, angoissée etc qui méritent la plus grande attention, la plus grande compréhension

Les Pleurs de l'enfant sont un thème très souvent abordé lors des consultations...ou de messages ou coups de fil clignotant comme des signaux de détresse et créant souvent une grande perturbation au niveau de la famille! ...Surtout quand l'aîné(e) ne pleurait pas ou très peu, quand le frère jumeau ne pleure pas lui...

Les parents (les mères surtout?) sont en grand désarroi: impuissance devant ces pleurs qu'on n'arrive pas à comprendre ni à calmer, culpabilité parfois, et surtout épuisement, fatigue, découragement...

Ne pas oublier que :

les pleurs sont souvent le principal mode d'expression d'un bébé  et qu'il en a besoin

les bébés sont des "éponges" qui peuvent se charger d'exprimer des douleurs ou des chagrins refoulés par un des parents..

Rentrant de ma formation homéopathique, je peux dire qu'il est certain qu'un traitement homéopathique peut aider mais il n'est pas le seul et parfois il n'est pas suffisant

Il faut avant tout se poser un certain nombre de questions:

"il pleure tout le temps": est ce vraiment le cas? le mieux c'est de faire une "horloge des pleurs" sur 24h (et sur plusieurs jours!) cela permettra de réaliser qu'il y a quand même pas mal de périodes sans pleurs (se demander à quel moment? dans quelles conditions?) et qu'il faut savoir en profiter

Comment le bébé pleure-t-il?

type de cri? douleur? début? fin? paroxysme? au cours du sommeil: endormissement? en dormant? au réveil?

Quels horaires?

par rapport à la pendule? à l'alimentation? à un évènement récurrent?

Depuis quand?

changement alimentaire? apparition d'un reflux (diagnostic très répandu en ce moment, pas toujours fondé et qui a parfois bon dos!)? suite de maladie? de changement de mode de garde? de déménagement? dépaysement? souci dans la famille? au travail?

Signes d'accompagnement:

digestifs? gaz? rôts? reflux? selles?...

comportementaux: colère? besoin de compagnie?

signes inflammatoires? salivation? spasmes? teint? tonus?

Qu'est ce qui le calme? qu'est ce qui aggrave les pleurs?

Sa nature, son comportement, sa constitution, ses antécédents (naissance, vie prénatale etc) seront bien sûr très utiles en homéo

Avoir répondu à ces questions (et d'autres) facilitera  la consultation homéopathique (ou pédiatrique) mais l'intérêt principal est sans doute que, répondre à ces questions prouvera à l'enfant que vous cherchez vraiment à savoir ce qu'il cherche à vous faire comprendre et il vous en sera très reconnaissant! Si! Si! je vous assure!

il a le droit de savoir dès que possible qu'il n'a pas des parents "parfaits"  et qui savent tout et ont toutes les réponses (ouf! c'est rassurant! rien de pire sans doute de se retrouver avec des parents parfaits, infaillibles etc...car quand arrive le moment où leur piédestal commence à s'effriter...) Vous avez le droit de ne pas le comprendre: vous pouvez lui dire, simplement, humblement...vous pouvez aussi lui dire que vous même étant très fatigué-e/ énervé-e/ épuisé-e/ contrarié-e/ dépassé-e/ vous êtes moins à même de le comprendre et que vous préférez aller souffler 5 minutes au calme dans votre chambre ou en faisant un tour dehors et vous le confiez à l'autre parent plus détendu à ce moment là, à la grand mère ou à l'ami/ voisin de passage ... (c'est parfois valable aussi pour chercher une solution pour le confier une nuit complète, histoire de bien récupérer) et s'il ne pleure pas (ou moins) avec la grand mère, le parrain, la voisine etc ce n'est pas parce que vous êtes un mauvais parent, c'est simplement parce que c'est vous l'interlocuteur privilégié qu'il a choisi!! Flatteur, non?

 

Est -il besoin de redire que s'il faut éviter de laisser un bébé pleurer, il ne faut pas sur-dramatiser en paniquant parce qu'on ne trouve pas la solution et qu'il faut, bien évidemment éviter de le "secouer"... J'ajoute cela car une maman vient de me dire que c'était quasiment le seul et dernier conseil qu'elle avait reçu avant de quitter la maternité, venant en plus d'un-e soignant-e qui ne transpirait pas la compréhension et la bienveillance! Avec ce seul conseil, en effet, on est bien équipé!!!

Espérons que les renseignements ci dessus seront d'une meilleure aide et ayons recours à l'homéopathie si besoin...L'haptonomie aussi est très précieuse pour aider parent et enfant à se remettre chacun-e dans sa base...

A suivre: la question du sommeil? de l'alimentation?

 

 

 

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8 avril 2019 1 08 /04 /avril /2019 14:47

Sujet encore trop tabou mais malheureusement assez répandu...

Sans vouloir dramatiser, il faut pouvoir en parler, la prévenir si possible (car, si elle se déclare après l'accouchement, certaines causes peuvent remonter à la grossesse...ou même bien avant dans la vie de la femme, à son enfance, adolescence, aux ATCD familiaux...

Il faut , le plus tôt possible mettre en place une prise en charge, une écoute et un soutien...

Il faut aussi penser à décharger la femme de conditions matérielles épuisantes et ne pas hésiter à faire appel à des associations dont les professionnel-le-s sont formé-e-s disponibles pour cela associations d'aide et d'intervention à domicile)

 

https://www.neonmag.fr/depression-post-partum-je-me-suis-dit-cest-ma-fille-ou-moi-par-la-fenetre-525135.html?fbclid=IwAR3n0mcZgnd4DyTU7jnhIUTbtH31W-CCW5EVUiJokmJjqKxoOd5-KmCBvdY

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24 juillet 2018 2 24 /07 /juillet /2018 01:44

Je tombe sur ce texte que je me fais un plaisir de vous transmettre...et cela vraiment au bon moment, alors que je viens d'entendre des mères exprimer leurs doutes ou même leurs culpabilités: de n'avoir pas "ou" accoucher jusqu'au bout...de ne pas trop comprendre les pleurs de leur bébé,...de ne pas toujours savoir le calmer etc...

Je vous demande de (vous) dire et répéter en forme de mantra: 

vous avez bien fait de choisir ce bébé là mais surtout il a bien fait de vous choisir car vous êtes la meilleure mère, les meilleurs parents pour lui car vous êtes SA mère, SES parents...

mais il faut parfois un peu de temps à chacun-e d'entre nous pour bien ajuster notre rôle, bien comprendre ses demandes et apprendre à y répondre. Avant tout FAITES VOUS CONFIANCE, FAITES LUI CONFIANCE...Soyez indulgent-e-s avec vous même et prenez soin de vous surtout après toutes les émotions, positives mais parfois négatives qu'a provoquées votre accouchement

Et maintenant, ce petit texte::

Le message accroché dans le bureau d’un pédiatre par une maman :

"Le mieux, c’est…

Le mieux, ce n’est pas le sein.
Ce n’est pas non plus le biberon.
Le mieux, ce n’est pas de le prendre dans les bras.
Ce n’est pas non plus de ne pas le prendre dans les bras.
Le mieux, ce n’est pas de le poser de telle manière.
Ce n’est pas non plus de le poser de telle autre manière.
Le mieux, ce n’est pas de le couvrir de telle façon.
Ce n’est pas non plus de le couvrir de telle autre façon.
Le mieux, ce n’est pas de lui donner de la nourriture en purée.
Ce n’est pas non plus de lui donner de la nourriture en morceaux.
Le mieux, ce n’est pas ce que dit ta mère.
Ce n’est pas non plus ce que dit ta femme ou ton mari.
Le mieux, ce n’est pas qu’il reste avec une nourrice.
Ce n’est pas non plus qu’il aille à la crèche ou qu’il reste avec ses grands-parents.
Le mieux, ce n’est pas de suivre un certain type d’éducation.
Ce n’est pas non plus de suivre un autre type d’éducation.

Sais-tu ce qui est vraiment le mieux ?
Le mieux c’est toi…

Le mieux, c’est ce que ton instinct te dicte.
Le mieux, c’est ce qui t’aide à te sentir bien.
Le mieux, c’est ce qui te permet d’être heureux ou heureuse avec ta famille.

Car si tu vas bien, ils recevront le mieux. Car le mieux, c’est toi.
Car si tu te sens sûre de toi, ils se sentiront aussi sûrs d’eux-mêmes.
Car si tu estimes bien faire, ta tranquillité et ton bonheur les
atteindront aussi.

Car le mieux c’est toi.
Cessons de dire à chaque père ou à chaque mère, ce qui est le mieux pour lui ou pour elle.

Car ce qui est vraiment le mieux pour tes enfants, c’est toi."

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12 juin 2018 2 12 /06 /juin /2018 23:34

Et voici un témoignage sur le portage et la plagiocéphalie

https://www.oummi-materne.com/le-portage-une-aide-contre-la-plagiocephalie/

Je suis sûre que mes amies ostéo ou psychomot auront plein de choses à dire à ce sujet

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15 février 2018 4 15 /02 /février /2018 23:46

Je vous passe l'article d'un blog d'une collègue sage-femme

elle est québécoise d'où des tournures un peu bizarres! Mais cet arrêt de dilatation arrive aussi bien en France qu'au Québec et son analyse me semble fort juste!

https://karinelasagefemme.com/accouchement-arret-de-dilatation-a-8-centimetres/

Elle décrit deux situations qu'on retrouve assez souvent:

arrêt de dilatation avec pourtant des contractions...de moins en moins bien supportées: c'est souvent ce qu'on appelle la phase de désespérance": la femme pense qu'elle ne va jamais y arriver, elle ne supporte plus ses contractions et pour celles qui voulaient vraiment se passer de péridurale (et qui y étaient arrivées jusque là!) elles ne se sentent plus la force de supporter et vont changer d'avis (avec les "encouragements" de l'équipe voire des insinuations ou remarques  à la limite de la jouissance sadique:"on vous l'avait bien dit que vous finiriez par la réclamer!"

panne de contractions (c'est à dire ...besoin de repos!) et là on va entrer (si on y était pas déjà) dans un enchainement de médicalisation (rupture de la poche des eaux, perf de synto pour relancer les contractions et pour supporter tout cela...l'inévitable péridurale, évitée jusqu'alors)

Que les femmes (et leurs conjoints) soient surprises lorsqu'une de ces situations arrive, on peut le comprendre mais on ne peut que s'étonner que les équipes médicales ne soient pas plus vigilantes et conscientes de ce genre de situations...

Je vais vous raconter une anecdote qui remonte à...beaucoup d'années où, juste avant de passer mon diplôme, je prospectais pour un poste...Ainsi me suis je retrouvée à la Maternité de Pithiviers dont le médecin chef n'était autre que le célèbre Michel Odent (je vous conseille vivement ses livres, ses travaux sur l'accouchement, la grossesse, l'ocytocine etc) J'étais super impressionnée: impressionnée par le cadre sécurisant, apaisant, le grand piano au milieu, la piscine à côté...impressionnée quand il me reçut dans son bureau par les énormes piles de documents qui s'empilaient sur sa table, en équilibre instable mais dont il savait tirer du bas d'une pile le papier qu'il cherchait (tout à fait comme mon bureau pensai-je avec plaisir et vanité)... mais encore plus impressionnée quand il répondit à une sage femme l'informant que Madame Z était en arrêt de dilatation qu'il n'y avait qu'à la laisser repartir chez elle!!! Je n'ai pas osé demander si la femme n'habitait pas loin, j'étais muette de saisissement: j'étais quand même en train de finir mes études dans un CHU où cela était bien évidemment impensable! Voilà j'aurais vraiment aimé travailler dans cette maternité mais elle était petite (elle a fermée depuis ...comme tant d'autres; Michel Odent est parti continuer ses recherches à Londres) c'était un remplacement qui risquait de ne pas être renouvelé et voilà comment je suis arrivée au Belvédère...et pourquoi vous êtes en train de me lire!

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13 février 2018 2 13 /02 /février /2018 01:13

Voici un très beau texte qui reprend beaucoup des propos de Michel Odent et qui devrait susciter enthousiasme ou peur devant notre cerveau reptilien
Je parle souvent de "bulle" et c'est bien de cela qu'il s'agit!

l'haptonomie ne fait pas partie des méthodes qu'elle évoque (et réfute!) et c'est tant mieux

je ne cesse de répéter que l'haptonomie n'est pas "une méthode pour accoucher" c'est plutôt un accompagnement autour de la naissance, bien avant...et bien après!

 

https://www.frederiqueaufeminin.fr/2018/02/11/plaidoyer-pour-une-non-pr%C3%A9paration-%C3%A0-la-naissance/

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 14:26

Tout d'abord Catherine Gueguen, pédiatre et haptothérapeute, :

https://lesprosdelapetiteenfance.fr/vie-professionnelle/paroles-de-pro/rencontres/catherine-gueguen-pediatre-arretons-de-dire-aux-petits-tes-pas-gentil

elle parle des neurosciences, mais aussi des tempêtes émotionnelles que traverse un tout petit qu'il faut savoir nommer, respecter; il faut consoler l'enfant ce qui ne veut pas dire lui céder! et ne pas parler de colère, de caprice etc...

elle parle aussi des enfants qui mordent...

 

Ensuite un article sur les pleurs de bébé (présenté par Isabelle Filliozat) Cela peut peut-être aider certains parents?

n'oublions pas aussi que les bébés "hapto" (et leurs parents!) communiquent très bien par des signes. imperceptibles..

D'ailleurs, dans un  autre ordre d'idées, je connais plusieurs parents qui "signent" avec leur bébé...

 

http://www.magicmaman.com/,comment-decoder-les-pleurs-de-bebe,3469706.asp

 

Enfin, un lien qui parle d'échographie:

l'échographie est un acte médical  (et pas un gadget!) qui peut poser des diagnostics...Il ne faut pas en abuser et il faut être bien conscient que cela n'est pas forcément agréable pour le bébé! Prévenez le avant de ce qui va se passer et ne vous laissez pas distraire par l'image sur l'écran (vous pouvez même demander au professionnel de tout vous expliquer...APRES!) pendant l'écho restez très présente émotionnellement avec votre bébé...retrouvez le avec vos mains le plus vite possible

http://naturellemaman.com/voila-ce-qui-se-passe-vraiment-quand-vous-faites-une-echographie/

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7 mars 2017 2 07 /03 /mars /2017 17:10

Une émission sur l'ostéopathie à ne pas rater ce soir, à enregistrer? à regarder en replay?

Pour mieux connaitre cette médecine qui résoud beaucoup de problèmes chez l'adulte et aussi chez l'enfant et le nouveau-né (vous pouvez vous assurer que votre ostéo a bien fait la formation nouveaux-nés (ou femmes enceintes)

Vivement que la Sécu rembourse ces consultations!...(et surtout espérons que les candidat-e-s qui veulent la réduire, la détruire etc ne l'emportent pas!)

 

voici le lien

https://www.facebook.com/LesPouvoirsExtraordinairesDuCorpsHumain/videos/1830988497155012/

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