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  • : Le blog de irene.autour-de-la-naissance
  • : échanger des vécus, des expériences autour de la grossesse, la naissance, l'allaitement, l'accompagnement haptonomique
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5 mars 2019 2 05 /03 /mars /2019 22:13

les maternités qui ferment ainsi que les "petits" hôpitaux, le système de soins qui se met au pas de la rentabilité, de la gestion, de l'économie, les services publics attaqués au profit du privé,au détriment de l'humain, de la proximité, d'une véritable prise en compte des besoins sociaux, environnementaux... tout le monde en souffre ou risque d'en souffrir... Il est plus que temps de réagir, il est temps de réfléchir au monde que nous voulons laisser à nos enfants, il faut nous prendre en mains...

Certain-e-s se découragent en disant que tout dépend des finances, de l'Europe..;Attention, ce n'est pas en en sortant que cela va arranger les choses, c'est en luttant pour la changer de l'intérieur et cela est tout à fait possible et dépend de nous...

Même si vous n'êtes pas concerné-e-s par votre petite maternité qui risque de fermer, vous êtes de toutes façons concerné-e-s par l'hyperconcentration que cela implique pour celles qui restent

https://www.facebook.com/watch/?v=821094384916904

 

 

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5 mars 2019 2 05 /03 /mars /2019 15:35

Fermeture de petites maternités, de petits hôpitaux, hyperconcentration dans de grands centres: déshumanisation, éloignement, destruction des services publics et des soins de proximité

En voici encore un triste exemple:

https://reporterre.net/La-maternite-de-Die-a-ferme-et-le-petit-Aime-est-mort?fbclid=IwAR2sGNLidZ7I5VUY0m5u4NpiNjpZa99WEvMeZyrrQRzGSgfgLxLtacbqstk

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11 novembre 2018 7 11 /11 /novembre /2018 15:19

En ce jour de commémoration, de récupérations, de détournements de valeurs, je voudrais me permettre de partager ma peine, de verser mes larmes pour tous ceux qui sont morts pendant cette boucherie, tués au front, ou morts des suites de leurs blessures, de leur folie, de leur alcoolisme provoqué...ou décimés (= un sur dix choisi au hasard, pour l'exemple) fusillés sur l'ordre d'un ignoble général (pas encore Maréchal la Honte) auquel on voudrait rendre hommage...à tous ces mutilés, mutinés pour ne pas vouloir tuer leurs frères de souffrances.

Je voudrais pleurer les millions d'orphelins, ou d'enfants qui n'ont pu voir le jour...les millions de veuves ou de promises dont le fiancé ne reviendra pas, les milliers d'enfants dont le père sera une gueule cassée qui leur fera peur...

Je voudrais crier ma colère devant ces gouvernants qui ne pensent qu'à faire la guerre (si possible chez les autres), qu'à vendre des armes ou à en acheter, qu'à inviter des criminels, des va-t-en-guerre..., à faire des profits sur la guerre sur le dos de populations innocentes et  surtout jamais préparer la Paix!

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9 novembre 2018 5 09 /11 /novembre /2018 21:13

Mon ordinateur et mon navigateur m'ayant joué quelques tours ces derniers jours, j'ai, pour cette fois au moins, des raisons pour n'avoir pas écrit ces temps ci!

il est donc grand temps que je vous informe que:

- Je vais intervenir auprès d'un groupe de professionnel-le-s de la Santé venant du Brésil (comme l'an dernier mais cette année, j'interviens en une seule fois et avec une interprète...

Parents avec bébé ou enfant plus grand ou en fin de grossesse sont les bienvenus comme d'habitude!

Ce sera le jeudi 15 novembre de 9h à 12h mais bien sûr, vous passez quand vous voulez le temps que vous voulez...mais prévenez moi c'est plus sympa pour l'organisation

c'est à

l'ERFPS (établissement régional de formation des professionnels de santé) rue du Dr Stewart juste après la fac de médecine; 3ème étage mais l'accueil sera prévenu et vous donnera un code pour l'ascenseur

 

- Une amie vient de m'apprendre qu'elle proposera des soins Rebozo chez elle à Jumièges les 19 et 20 novembre; elle m'en dira plus sous peu dans un commentaire; ce que je sais c'est que ces soins sont très bénéfiques avant et surtout après la grossesse mais déconseillés pendant! ...mais elle propose aussi d'autres soins...

 

- Une autre amie viendra le vendredi 30 novembre de 13h30à 15h30 nous parler des pierres, de leurs vertus et de leurs qualités thérapeutiques (elle vous en dira plus elle même dans un commentaire, elle aussi

 

voici donc quelques dates à retenir!

Bon week end

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24 juillet 2018 2 24 /07 /juillet /2018 01:44

Je tombe sur ce texte que je me fais un plaisir de vous transmettre...et cela vraiment au bon moment, alors que je viens d'entendre des mères exprimer leurs doutes ou même leurs culpabilités: de n'avoir pas "ou" accoucher jusqu'au bout...de ne pas trop comprendre les pleurs de leur bébé,...de ne pas toujours savoir le calmer etc...

Je vous demande de (vous) dire et répéter en forme de mantra: 

vous avez bien fait de choisir ce bébé là mais surtout il a bien fait de vous choisir car vous êtes la meilleure mère, les meilleurs parents pour lui car vous êtes SA mère, SES parents...

mais il faut parfois un peu de temps à chacun-e d'entre nous pour bien ajuster notre rôle, bien comprendre ses demandes et apprendre à y répondre. Avant tout FAITES VOUS CONFIANCE, FAITES LUI CONFIANCE...Soyez indulgent-e-s avec vous même et prenez soin de vous surtout après toutes les émotions, positives mais parfois négatives qu'a provoquées votre accouchement

Et maintenant, ce petit texte::

Le message accroché dans le bureau d’un pédiatre par une maman :

"Le mieux, c’est…

Le mieux, ce n’est pas le sein.
Ce n’est pas non plus le biberon.
Le mieux, ce n’est pas de le prendre dans les bras.
Ce n’est pas non plus de ne pas le prendre dans les bras.
Le mieux, ce n’est pas de le poser de telle manière.
Ce n’est pas non plus de le poser de telle autre manière.
Le mieux, ce n’est pas de le couvrir de telle façon.
Ce n’est pas non plus de le couvrir de telle autre façon.
Le mieux, ce n’est pas de lui donner de la nourriture en purée.
Ce n’est pas non plus de lui donner de la nourriture en morceaux.
Le mieux, ce n’est pas ce que dit ta mère.
Ce n’est pas non plus ce que dit ta femme ou ton mari.
Le mieux, ce n’est pas qu’il reste avec une nourrice.
Ce n’est pas non plus qu’il aille à la crèche ou qu’il reste avec ses grands-parents.
Le mieux, ce n’est pas de suivre un certain type d’éducation.
Ce n’est pas non plus de suivre un autre type d’éducation.

Sais-tu ce qui est vraiment le mieux ?
Le mieux c’est toi…

Le mieux, c’est ce que ton instinct te dicte.
Le mieux, c’est ce qui t’aide à te sentir bien.
Le mieux, c’est ce qui te permet d’être heureux ou heureuse avec ta famille.

Car si tu vas bien, ils recevront le mieux. Car le mieux, c’est toi.
Car si tu te sens sûre de toi, ils se sentiront aussi sûrs d’eux-mêmes.
Car si tu estimes bien faire, ta tranquillité et ton bonheur les
atteindront aussi.

Car le mieux c’est toi.
Cessons de dire à chaque père ou à chaque mère, ce qui est le mieux pour lui ou pour elle.

Car ce qui est vraiment le mieux pour tes enfants, c’est toi."

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23 juillet 2018 1 23 /07 /juillet /2018 01:03

Après des pères qui font du peau à peau au Kenya, restons en Afrique avec la naissance d'un bébé peul... 

Vous noterez les objets de fête différents s'il s'agit d'un garçon ou d'une fille (!!) le repos que prend la mère et l'obéissance que l'enfant doit à sa mère...beaucoup plus qu'au père!...normal puisque la mère est un ATELIER DIVIN

 

DEIN'A'BÖ

Part1: INTRODUCTION

Naissance chez les Peuls

Chez les peuls, le premier-né d'une femme est mis au monde chez la mère de celle-ci, et les suivants naissent chez leur père, en présence des femmes seulement.

La semaine qui suit la naissance du bébé, la mère et l'enfant restent dans la case à cause de l'état de faiblesse de la mère, pour éviter à l'enfant d'être exposé, le temps que cède le cordon ombilical, et en plus en pays Khassonkê, le clan des Sidibé ne doit pas apercevoir de Djibato (une femme nouvellement accouchée)

Le père informe ses beaux-parents de sa nouvelle paternité par l'envoie d'un paquet de noix de cola et d'argent

Une semaine, jour pour jour, après la naissance, a lieu l'imposition du nom.
Le père dit le prenom qu'il donne à l'enfant, au cours de la cérémonie du fembugal (raser la tête) ou innugol (nommer), communément appelée Dein'na'bö

Généralement, c'est le père qui choisit le prénom du nouveau-né, mais diverses raisons peuvent motiver son choix

Avant d'être islamisés, les peuls portaient des prénoms selon leur ordre de naissance
Pour les garçons:
1er Sara
2e Samba
3e Yero
4e Pathé...

Pour les filles:
1e Sira
2e Penda
3e Goulo
4e Dyiba...

Avec l'islamisation, ils ont adoptés et adaptés
des prénoms musulmans comme Amadou (Ahmed), Mamadou (Mohamed), Djenabou (Zenab), Fatoumata (Fatima)..., tout en conservant certains prénoms peuls accolés à des circonstances comme:

Mamadou Bhoyi (Mamadou qui à retardé), la mère ayant eu des enfants tardivement
Mamadou Djouldé (Mamadou né un jour de fête)
Mamadou Oury (Mamadou vivant) attribuée à l'enfant dont tous les frères et soeurs ont péri successivement en bas âge afin de lui assurer longue vie
Mamadou Djan (Mamadou du bonheur)
Fatoumata Malaxo (Fatoumata l'élue)....

Des prénoms dérivés des statut comme:
Alpha de Alphadjo (lettrés), Karamoko de Karamokodjo (professeur),Almamy de Almamydjo (dirigeant) Baïlô de Baïlôdjo (forgeron)...

Les jumeaux considéré comme signe de bénédictions divine reçoivent 2 noms appareillés:

Al Hassane - Al Husseyni
Mamadou - Mamoudou
Saïdou - Sadou
Houssay - Hassanatou....

Le jour de la cérémonie qui exprime la reconnaissance de paternité du nouveau-né Sanfa (prénom provisoire). Les parents de l'enfant ayant pris éventuellement l'avis des parents paternels ont décidés du prénom de l'enfant en secret
Les sages du côté du père en accord avec ceux de la mère désignent un Karamoko pour procéder au sacrifice d'un bélier ou une chèvre (le boeuf sacrificiel) selon le sexe du nouveau-né

Les « mères » coupent les cheveux de l'enfant : une femme, désireuse d'avoir des enfants, se lave avec l'eau qui a servi à la coupe des cheveux, met le bébé sur son dos, lui met un turban blanc et suivit du cortège, des femmes, font 3 fois le tour de la case où à lieu le "fembugal" avec un arc, un sabre et une ardoise d'écolier dans les mains, si c'est un garçon ; et 4 fois, si c'est une fille, avec une cuillère, un fouet à sauce et une puisette, des morceaux d'étoffe, des lefas (vannerie circulaire servant à couvrir les calebasses) et des calebasses...

Au moment où le Karamoko égorge l'animal, il murmure le prénom de l'enfant en ces termes "ismuhu boobo on wiaama kaariijo", c'est-à-dire "cher bébé vous êtes nommé untel"

Après avoir fait circuler dans l'assemblée réunie pour la circonstance le nom de l'enfant est inscrit sur un papier, les awlubhê ou griots reprennent solennellement à haute voix le prénom du bébé en souhaitant que Dieu protège le bébé

C'est alors que le festin et les réjouissances peuvent commencer
Les griots quant à eux accompagnent ces festivités aux sons de leurs instruments et par des déclamation louangeuses

Le jour même de la cérémonie une délégation doit apporter aux beaux-parents une partie de la viande, des colas, des nattes et des cordes pour attacher les bêtes ou l'équivalent en argent
En retour, cette délégation reçoit des beaux-parents des plats de riz en symbole de respect
Cet échange de dons appelé "futu" marque la consolidation des relations entre les deux famille

Pour un premier-né, l'accouchée reste quelques semaines chez sa mère qui lui apprend à tenir et à soigner son enfant.
Jusqu'à 7 ans pour le garçon, jusqu'au mariage pour la fille, la mère est la gardienne et l'éducatrice normale des enfants (ne'uɗo)

Dans l'enfant peul (Amkoullel), Hampathé Ba nous rappelle que:
« Un enfant Peul grandira dans une double fidélité :
_à un véritable code de l’honneur (le poulaakou)
_et à un total respect de la volonté maternelle.
Un peul peut désobéir à son père, jamais à sa mère. La règle est absolue. »

L’homme, dit-on chez nous, n’est qu’un semeur distrait, alors que la mère est l’atelier divin ou le créateur travaille directement, sans intermédiaire, pour former et mener à maturité une vie nouvelle

Et comme dit l’adage Malien: « Tout ce que nous sommes et tout ce que nous avons, nous le devons 1 fois seulement à notre père, mais 2 fois à notre mère »

Néanmoins, « En Afrique traditionnelle, l’individu est inséparable de sa lignée, qui continue de vivre à travers lui et dont il n’est que le prolongement.
C’est pourquoi, lorsqu’on veut honorer quelqu’un, on le salue en lançant plusieurs fois non pas son nom personnel (ce que l’on appellerait en Europe le prénom) mais le nom de son clan : « Bâ ! Bâ ! » ou « Diallo ! Diallo ! » ou « Cissé ! Cissé ! » car ce n’est pas un individu isolé que l’on salue, mais, à travers lui, toute la lignée de ses ancêtres. »

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9 juillet 2018 1 09 /07 /juillet /2018 11:31

Ce fut un beau moment en effet que ces heures partagées autour d'un pique nique, d'une rando (demi rando pour moi car elle avait commencé le matin) et d'échanges autour de l'haptonomie, l'autonomie et le travail des assistantes maternelles.

Le Relais assistantes Maternelles Parents Enfants La Marelle dans l'Eure organise souvent ces moments de rencontres si vivants et si enrichissants et m'a fait l'honneur de m'y inviter à plusieurs reprises: que l'organisatrice, les organisatrices en soient vivement remerciées car c'est vraiment un plaisir et une richesse de participer à leurs réflexions...Cette année, elles utilisaient le photo langage pour répondre à la question:

« En tant que professionnel, pour vous, que représente l’autonomie de l’enfant ? »

et bien sûr, à cette question on pourrait remplacer le mot "professionnel" par le mot "parent"!

les photos étaient variées et ne représentant pas forcément des enfants; chacun-e devait en choisir une et expliquer ensuite son choix...

Parmi les photos choisies: un pont de singe, une corde tendue jusqu'à tenir par un fil, une enfant en train de lire, ou faisant des grimaces ou en haut d'un sommet avec une cape prête à s'envoler..ou un bébé soutenu haptonomiquement dans la main de son père ou nouveau-né blotti dans sa main ou enfant contre son coeur...

les termes: accompagnement, confiance, respect, ouverture sur le monde, contenir affectivement, (r)assurer, tendresse, bienveillance sont souvent revenus

J'ai parlé d'haptonomie mais aussi de neuro sciences affectives et sociales, d'empathie et de Catherine Gueguen...Les témoignages des assistantes maternelles venaient illustrer cela fort à propos:Tel le cas de ce petit garçon (qui rentre à l'école en septembre) décrit comme turbulent, parfois agressif envers les autres et lui même et...ne supportant pas d'être touché tout en venant souvent chercher des calins! les autres parents ont parfois suggéré à l'assmat de ne plus le prendre mais elle tient à le garder car même si parfois elle ne sait plus quoi faire elle sent qu'elle a un rôle bénéfique...Ce n'est pas sa place de savoir ce qui a pu ou peut encore se passer dans la vie de cet enfant (pendant la grossesse, à la naissance et depuis) ni de chercher s'il y a (ou non) des carences parentales mais elle remplit bien la fonction décrite par Catherine Gueguen (et pas seulement elle) de personne adulte bienveillante qui va pouvoir aider l'enfant à développer son empathie et à se développer et c'est essentiel! (l'assmat est un peu inquiète pour sa rentrée à l'école, elle lui a bien répété qu'il pourrait revenir autant qu'il voudrait)

il y a aussi cette petite fille dont la maman est très malade: au début, un peu mal à l'aise pour aborder ce sujet, l'assistante maternelle a fini par en parler avec son soeur à la maman et propose d'emblée de garder l'enfant pour le soir ou la nuit (et cela gratuitement) si la maman est trop fatiguée.

Quelle richesse de pouvoir compter sur de telles assistantes maternelles! Que de belles personnes! Je sais que certains parents préfèrent parfois un mode de garde en collectivité et cela a en effet d'autres avantages mais qu'il est bon de savoir que de tels relais et de telles assistantes maternelles existent et font un travail de soutien et d'accueil de cette qualité et avec tant d'humanité

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7 juillet 2018 6 07 /07 /juillet /2018 12:34

Suite à un article précédent où je mettais en cause les "bôfs-footeux" la violence n'existe pas que chez eux et il est temps de la dénoncer partout où elle se trouve surtout que la violence médicale, obstétricale abuse du pouvoir de la personne qui l'exerce et touche quelqu'un-e en situation de faiblesse

Ne pas oublier, comme le dit bien Martin Winckler dans son livre "Les Brutes en Blanc" qu'il faut bien distinguer des violences occasionnelles ou des paroles maladroites et des violences structurelles chez les personnes qui en usent, marquées par le machisme, le sexisme (oui , venant même de femmes soignantes) le racisme...

L'auteur-e d'une violence "accidentelle pourra le reconnaitre et s'en excuser:

Une maman me racontait l'autre jour combien elle s'était sentie frustrée, humiliée, et surtout déstabilisée et en perte de confiance d'elle même devant une soignante (sage femme!) qui refusait de la croire (à plusieurs reprises!) quand elle disait qu'elle était bien en travail et que le bébé arrivait...Bien sûr, cela l'a fragilisée au moment où elle aurait eu besoin de toute son assurance, toutes ses forces et bien sûr, elle en a beaucoup voulu à cette soignante...jusqu'à ce que celle-ci reconnaisse son erreur et lui demande de l'excuser

https://www.facebook.com/franceinfovideo/videos/1958255984217890/

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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 23:40

suite à ce que j'écrivais sur les hôpitaux, un film à voir

Un film de Stéphane Mercurio
Disponible en VOD et DVD : http://www.lesmutins.org/hopital-au-bord-de-la-crise-de

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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 23:01

Bon, vous l'avez remarqué, je ne suis pas très assidue sur mon blog ces temps-ci.

Ces dernières semaines, plusieurs d'entre nous étaient occupés, pré-occupés par la grève au Centre Hospitalier du Rouvray et surtout par les grévistes de la faim mettant leurs santés en péril (mais ne l'était-elle pas déjà énormément à cause de leurs conditions de travail?) pour défendre la santé de leurs patient-e-s

La psychiatrie est le parent pauvre de la médecine tant on se refuse à voir les troubles psychiatriques comme une maladie"habituelle" (diabète, hypertension etc) et ainsi on sous estime ses besoins, ses soignant-e-s, ses patient-e-s...Le silence assourdissant de l'Agence Régionale de Santé et du Gouvernement, leur mépris étaient très révélateurs...Mais la mobilisation a payée en espérant que les acquis obtenus en soient des vrais car on connait hélas trop l'habitude de "déshabiller Pierre pour habiller Paul"...et aussi que les revendications se répandent...

..".La psychiatrie, parent pauvre" ai-je dit? j'aurais dû dire très pauvre car ce sont tous les hôpitaux qui sont malades et la situation aux urgences relève d'une URGENCE qu'il faudrait rapidement traiter si le gouvernement faisait de vrais choix sociaux...sans parler de la gifle qu'il vient de donner aux personnes porteuses d'un handicap ou de la maladie d'Alzheimer

"La santé n'est pas une marchandise" "des lits pas des profits" pouvait on lire au Rouvray ou ailleurs...

Voilà ce qui m'amène, suite à une conversation avec des parents, à mettre ce lien sur les vaccins! Les médias, la plupart des médecins et des sages femmes et ...la loi veulent nous imposer un choix en balayant toutes les questions pourtant justifiées qu'on pourrait se poser! Est-cela nous offrir les conditions d'un choix éclairé? Les arguments pour nous imposer ces ONZE vaccins (ce qui en fait bien plus en vérité) même pas très ...argumentés...tout le monde les connait; il est bon parfois de laisser la parole à ceux qui ne sont pas du même avis; ça s'appelle le dialogue et la démocratieet ainsi chacun peut réfléchir et décider

https://www.prevention-sante.eu/radio-tv/vaccins-le-coup-gueule-pharmacien

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